FACES au crepuscule

   Les civilisations ont depuis longtemps disparu. Des épidémies ont déferlée, les eaux des océans toxiques ont débordées, les conditions atmosphériques sont devenues extrêmes, la terre a tremblé détruisant de puissantes cités, de terribles guerres ont eux lieu entre les survivants pour les quelques ressources restantes. L’humanité s’est perdue il y a maintenant des siècles et agonise sur une terre qui ne veux plus d’elle.

   Dans des tempêtes de cendres ou des moussons acides, le monde est parcouru par d’immortels monstres de plusieurs kilomètres qui ne laissent aucun répit aux survivants. Punition divine, vengeance de la terre, ou nouvelle race dominante ? On ne le sait pas, mais qui cela intéresse-t-il encore ? 

  Au clair d’une lune brisée, ou dans la pale lueur du soleil mourant, les dernières tribus humaines se cachent, chassées par d’obscènes prédateurs. Elles sont revenues au bas de l’échelle de l’évolution humaine, survivre jusqu’à demain est leur tache unique. Tout est hostile, certaines pluies chimiques peuvent tuer, les sols sont stériles et l’eau infectée. Les enfants naissent malformés, viables ou non, et sont décimés par la malnutrition, les maladies physiques ou mentales. La race humaine est en voie de disparition.